Nicolas D. chef d’entreprise indépendant dans le secteur du Web
Je ne pensais pas avoir droit aux titres repas puisque je ne compte aucun travailleur dans mon entreprise. Mais comme je corresponds bien à toutes les conditions d’exonérations, mon ticket déjeuner est bien considéré comme un avantage non imposable. Par contre, je n’ai le droit de m’octroyer au maximum que 220 chèques repas par an.
Janine B. dirigeant d’une société de prêt-à-porter
En tant que dirigeante, j’ai vu que j’avais le droit de bénéficier d’un Ticket Restaurant ® au même titre que mes employés. Je suis assujettie aux mêmes conditions qu’eux et à ce titre mes tickets de restauration ne sont pas considérés comme une rémunération imposable. Cependant, comme il s’agit d’avantages sociaux exonérés, ils ne peuvent être déduits comme frais professionnels, à l’exception de l’euro de la quote-part patronale. Naturellement, comme mes salariés, je ne peux pas m’octroyer plus de titre repas qu’un travailleur occupé à plein temps dans l’entreprise, soit 78 jours par trimestre pour une semaine de 6 jours. Évidemment, s’agissant d’un avantage collectif, tous les salariés comptant dans l’effectif de mon entreprise en bénéficient.
Patricia I. rédactrice web freelance
J’exerce à la maison mon métier, travaillant au même titre que les autres pendant les 35 heures légales de la semaine. Je ne pensais pas pouvoir obtenir mes propres chèques restaurant mais c’est possible et maintenant que l’étape est franchie, j’en parle autour de moi, aux autres freelances que je connais, pour qu’ils s’octroient également ce privilège bien sympathique.
Jean-Pierre M., chef d’entreprise dans le secteur industriel
J’ai quatre employés travaillant à temps plein selon un contrat de 6 jours par semaine (soit 38 heures) avec des horaires variables et j’ai un employé qui vient 19 heures par semaine. Je voulais fournir des chèques déjeuner de 7 € mais la question que je me posais, concernait le statut de mon mi-temps. Traditionnellement, un titre repas est attribué par journée de travail prestée mais dans mon cas, cela voulait dire que mes quatre travailleurs allaient recevoir le même nombre de chèques que mon employé à mi-temps. Ne trouvant pas cela normal, j’ai regardé mes options et j’ai choisi la méthode du comptage qui privilégie le nombre d’heures effectuées dans l’entreprise.
Annick G., dirigeante d’une société évoluant dans le tertiaire
Lorsque j’étais employée, au début de ma carrière, j’ai apprécié de recevoir chaque mois mes titres déjeuner, j’ai donc tout naturellement cherché à me renseigner lorsque j’ai monté mon entreprise il y a une dizaine d’années. Employant des personnes à temps pleins et d’autres à temps partiels, j’ai opté pour des chèques avec des valeurs faciales différentes selon le statut du travailleur. Inscrite dans la convention collective, mes employés ne sont pas surpris du processus et acceptent naturellement cette différenciation, qu’ils considèrent tous comme juste. Aujourd’hui, je me penche sur le système du chèque repas électronique. Si le procédé est réellement plus simple administrativement parlant, je ne vois pas pourquoi ne pas y souscrire au plus vite. Bien sûr, il me faut consulter mes salariés avant de prendre la décision…
Avis d’entreprise sur le thème du titre repas
Nicolas D. chef d’entreprise indépendant dans le secteur du Web
Je ne pensais pas avoir droit aux titres repas puisque je ne compte aucun travailleur dans mon entreprise. Mais comme je corresponds bien à toutes les conditions d’exonérations, mon ticket déjeuner est bien considéré comme un avantage non imposable. Par contre, je n’ai le droit de m’octroyer au maximum que 220 chèques repas par an.
Janine B. dirigeant d’une société de prêt-à-porter
En tant que dirigeante, j’ai vu que j’avais le droit de bénéficier d’un Ticket Restaurant ® au même titre que mes employés. Je suis assujettie aux mêmes conditions qu’eux et à ce titre mes tickets de restauration ne sont pas considérés comme une rémunération imposable. Cependant, comme il s’agit d’avantages sociaux exonérés, ils ne peuvent être déduits comme frais professionnels, à l’exception de l’euro de la quote-part patronale. Naturellement, comme mes salariés, je ne peux pas m’octroyer plus de titre repas qu’un travailleur occupé à plein temps dans l’entreprise, soit 78 jours par trimestre pour une semaine de 6 jours. Évidemment, s’agissant d’un avantage collectif, tous les salariés comptant dans l’effectif de mon entreprise en bénéficient.
Patricia I. rédactrice web freelance
J’exerce à la maison mon métier, travaillant au même titre que les autres pendant les 35 heures légales de la semaine. Je ne pensais pas pouvoir obtenir mes propres chèques restaurant mais c’est possible et maintenant que l’étape est franchie, j’en parle autour de moi, aux autres freelances que je connais, pour qu’ils s’octroient également ce privilège bien sympathique.
Jean-Pierre M., chef d’entreprise dans le secteur industriel
J’ai quatre employés travaillant à temps plein selon un contrat de 6 jours par semaine (soit 38 heures) avec des horaires variables et j’ai un employé qui vient 19 heures par semaine. Je voulais fournir des chèques déjeuner de 7 € mais la question que je me posais, concernait le statut de mon mi-temps. Traditionnellement, un titre repas est attribué par journée de travail prestée mais dans mon cas, cela voulait dire que mes quatre travailleurs allaient recevoir le même nombre de chèques que mon employé à mi-temps. Ne trouvant pas cela normal, j’ai regardé mes options et j’ai choisi la méthode du comptage qui privilégie le nombre d’heures effectuées dans l’entreprise.
Annick G., dirigeante d’une société évoluant dans le tertiaire
Lorsque j’étais employée, au début de ma carrière, j’ai apprécié de recevoir chaque mois mes titres déjeuner, j’ai donc tout naturellement cherché à me renseigner lorsque j’ai monté mon entreprise il y a une dizaine d’années. Employant des personnes à temps pleins et d’autres à temps partiels, j’ai opté pour des chèques avec des valeurs faciales différentes selon le statut du travailleur. Inscrite dans la convention collective, mes employés ne sont pas surpris du processus et acceptent naturellement cette différenciation, qu’ils considèrent tous comme juste. Aujourd’hui, je me penche sur le système du chèque repas électronique. Si le procédé est réellement plus simple administrativement parlant, je ne vois pas pourquoi ne pas y souscrire au plus vite. Bien sûr, il me faut consulter mes salariés avant de prendre la décision…
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